20 avril 2019 6 20 /04 /avril /2019 20:12

Le 9 avril 2019

Sortie en VTT sur le versant est du Cap Canaille, plus connu de mon côté en chaussons pour ces falaises orientées au couchant. Si je pratique les pentes des Alpes de préférence à skis, la descente s’y avérant infiniment plus ludique et rapide, je préfère également rouler que marcher sur les sentiers de Provence, et je n’avais donc pas encore exploré ces vallons qui descendent de la crête des falaises soubeyrannes vers La Ciotat, vallons souvent parcourus de larges pistes peu intéressantes pour la randonnée. C’est maintenant chose faite en 2 roues, en alternant comme se doit pistes à la montée et sentiers étroits mais roulants à la descente. On retiendra surtout la descente de Baou Rous à Mallombre, sur des sentiers fleuris sous l’arche naturelle de Baou Trouca, et après la remontée du Vallat des Brusquières, la descente du belvédère des calanques au Pas de la Colle, puis la belle portion panoramique du Bau de la Saoupe au Bau Redon (ou Couronne de Charlemagne) au-dessus des vignobles et de la baie de Cassis, dont un beau single au nord au-dessus du Pas de Julien.

asphodèle devant l'arche de Baou Trouca
asphodèle devant l'arche de Baou Trouca

asphodèle devant l'arche de Baou Trouca

au sommet du Bau Redon

au sommet du Bau Redon

8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 20:56

Le 8 avril 2019

Sortie en vélo en soirée, chose maintenant possible sans frontale depuis le passage à l’heure d’été, pourvu que l’éventuelle nouvelle règle en terme de changement d’heure se base exclusivement sur l’heure d’été, avec certes un gros décalage par rapport à l’heure solaire mais aussi un gros bonus pour les amateurs d’activité de plein air ! 

Le monotrace de la vigie de Méjean, précédé par les crêtes dominant à l’ouest le vallon du Pérussier, donne à rouler un beau sentier panoramique au-dessus de la mer, entre barres de calcaire blanc et de grès rouge, juste assez large entre les murs de garrigue pour laisser passer un guidon, et qui devient bien technique et raide sur la fin au-dessus de Grand Méjean. Les lumières du couchant avec l’atmosphère purifiée par les récentes pluies feront oublier l’effort de montée sur la piste de Grand Méjean jusqu’à la table d’orientation des Caucarrières, avant la dernière récompense du single facile et rapide de Chantegrive sous les falaises au nord du point coté 221.

sur les crêtes au-dessus du vallon du Pérussier
sur les crêtes au-dessus du vallon du Pérussier

sur les crêtes au-dessus du vallon du Pérussier

sur le single de la vigie de Méjean
sur le single de la vigie de Méjean
sur le single de la vigie de Méjean

sur le single de la vigie de Méjean

arrivée aux grès et au port du Grand Méjean
arrivée aux grès et au port du Grand Méjean

arrivée aux grès et au port du Grand Méjean

lumières et vue sur la rade vers les Caucarrières
lumières et vue sur la rade vers les Caucarrières

lumières et vue sur la rade vers les Caucarrières

7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 18:27

Le 7 avril 2019

En cette météo enfin pluvieuse, qui fait le bonheur d’une végétation assoiffée par 2 mois de sécheresse absolue… et le malheur des sportifs de plein air, on va chercher les champignons… de calcite dans la grotte éponyme, située au-dessus de l’ermitage de Saint-Ser dans la montagne Sainte-Victoire. On atteint son porche et châtière d’entrée par une courte randonnée puis une dizaine de mètres d’escalade patinée bien protégée par quelques scellements, avant de pouvoir découvrir la grande salle hémisphérique qui la constitue. Autour de la grande méduse centrale se trouve un plafond, à l’abri des dégradations, parfois bien concrétionné, avec notamment des draperies et choux-fleurs de calcite multicolore. Dommage que par sa (relative) facilité d’accès et son caractère classique cette cavité, comme beaucoup d’autres dans la région, ait été autant dégradée, avec concrétions cassées, volées, peintes, tagées… sans compter les bougies ou autres déchets laissés par certains de ses visiteurs. Encore une raison pour garder confidentiels les emplacements des belles grottes découvertes en 2018 !

rideau de pluie vers le sud

rideau de pluie vers le sud

la chapelle Saint-Ser à mi-approche

la chapelle Saint-Ser à mi-approche

dans la châtière d'entrée

dans la châtière d'entrée

les gros volumes de la grotte aux champignons

les gros volumes de la grotte aux champignons

détail des concrétions pariétales et des choux-fleurs multicolores de calcite
détail des concrétions pariétales et des choux-fleurs multicolores de calcite
détail des concrétions pariétales et des choux-fleurs multicolores de calcite

détail des concrétions pariétales et des choux-fleurs multicolores de calcite

sur le chemin du retour

sur le chemin du retour

31 mars 2019 7 31 /03 /mars /2019 21:03

Les 30 et 31 mars 2019

Itinéraire :

J1 : Rif du Sap - refuge du Clot - cabane de Surette - refuge de Vallonpierre

J2 : refuge de Vallonpierre - Montagnon-arête ouest du Montagnon - Val Haut - Vallon Long - crête des Pales - la Parière - cabane du Pré de l'Ours - Rif du Sap

Sommet : 2900 m

Dénivelée : J1 : 850 m (1400-2250)

J2 : 1200 m (2250-2900-2350-2800-1300-1400)

Difficulkté : 4.2 expo 3, des passages en arête aérienne et exposée sur la crête ouest du Montagnon et en traversée raide et exposée versant nord-ouest de l'Aiguille de Morges

Première virée avec nuit en refuge non gardé de la saison 2019, la météo outrageusement ensoleillée et sèche de ce mois de mars et la nivologie stable invitant maintenant à aller poser les spatules dans le haut massif des Ecrins, plus précisément dans la vallée du Valgaudemar, haut-lieu du grand Oisans sauvage. De chaque côté de ce cette vallée profonde et encaissée des itinéraires passent à skis entre les ravins de gneiss vers les hauts-sommets, et vu l’enneigement faible à inexistant des adrets en cette fin mars on choisit la rive gauche de la Séveraisse et le refuge de Vallonpierre, qui offre un beau local d’hiver comme souvent dans la vallée. On s’oriente vers l’aiguille de Morges, monolithe de gneiss qui domine le fond de vallée de près de 2000 mètres de ravins et d’alpages suspendus, et qui peut se parcourir en boucle avec une très belle descente finale raide et plongeante sur le Valgaudemar. 
Mis à part 2 groupes de skieurs rencontrés au refuge de Vallonpierre, en partance vers le pic Jocelme et la brèche en V du Sirac, on ne croisera personne sur cet itinéraire peu connu et délicat comme souvent dans le coin, juste un aigle royal qui se pose près de nous au sommet du Montagnon, des chamois sous X et même pour certains quelques tétras ! On aura donc tout loisir d’observer la faune… et les paysages des Ecrins sur ces belvédères posés face au collier de sommets de la rive droite de la Séveraisse, tout en restant attentif à ce sur quoi on pose nos skis ! 
Après un hiver historiquement sec et chaud comme le réchauffement climatique nous  y a habitués, l’enneigement des Alpes du sud se situe à un niveau très faible, plutôt caractéristique des fins de printemps. Les adrets notamment sont verts, ou plutôt encore marrons, jusqu’à près de 2500 mètres par endroits, et le peu de neige qui y subsiste ressemble à des pénitents, de lames étroite de neige ciselées par la sublimation après des semaines de sécheresse. C’est beau pour les yeux, moins bon pour les spatules qu’on pose donc précautionneusement sur ces rasoirs de neige qui entravent le ski ! En ubac la neige s’avère heureusement moins sculptée, mais pas si facile car des croûtes glacées y jouxtent de la vieille poudreuse tassée ou de la neige de printemps plus ou moins dégelée, agilité donc de rigueur pour ces changements brusques de neige… et sang-froid pour la traversée du versant nord-ouest de l’aiguille de Morges depuis la crête des Pales, sur des pentes raides et exposées au-dessus de ravins de schistes. Si cette traversée inaugurale de la grande descente finale en face nord se fera crispés le piolet à la main (ou en crampons), la suite (mais pas la fin !) des 1500 mètres de descente sera beaucoup plus plaisante, souvent en moquette ou vieille poudre, dans une magnifique ambiance sur des pentes convexes perchées au-dessus de la Séveraisse et face aux Rouies ou à l’Olan, une impression de pente et de vide qu’on ne ressent pas si souvent en ski. La fin dans les vernes, à travers arbustes et ravins d’avalanche remplis de boules gelées, et sur un enneigement devenant famélique, sera bien délicate mais nous permettra de rejoindre le fond de vallée à 1300 m sans déchausser. Ces parties scabreuses, ainsi que le passage esthétique mais aérien sur les schistes de l’étroite arête ouest du Montagnon, confirmeront que cette belle course n’est pas à mettre sous toutes les spatules !

J1 : dans l'approche, sous la face nord du Sirac
J1 : dans l'approche, sous la face nord du Sirac
J1 : dans l'approche, sous la face nord du Sirac

J1 : dans l'approche, sous la face nord du Sirac

J1 : vers les Vernets, devant les Rouies
J1 : vers les Vernets, devant les Rouies

J1 : vers les Vernets, devant les Rouies

J1 : arrivée au refuge de Vallonpierre et dernières lueurs
J1 : arrivée au refuge de Vallonpierre et dernières lueurs
J1 : arrivée au refuge de Vallonpierre et dernières lueurs
J1 : arrivée au refuge de Vallonpierre et dernières lueurs

J1 : arrivée au refuge de Vallonpierre et dernières lueurs

J2 : dans la face ouest du Montagnon
J2 : dans la face ouest du Montagnon
J2 : dans la face ouest du Montagnon
J2 : dans la face ouest du Montagnon

J2 : dans la face ouest du Montagnon

J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents
J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents

J2 : sur l'arête ouest du Montagnon et sa corniche sublimée en pénitents

J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes
J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes

J2 : descente du Val Haut, entre pénitents, Sirac et ravins de schistes

J2 : remontée du Vallon Long, sous l'aiguille de Morges et sur les pénitents
J2 : remontée du Vallon Long, sous l'aiguille de Morges et sur les pénitents

J2 : remontée du Vallon Long, sous l'aiguille de Morges et sur les pénitents

J2 : panorama vers la basse vallée du Valgaudemar

J2 : panorama vers la basse vallée du Valgaudemar

J2 : dans la délicate traversée de la pente nord-ouest, vers le point coté 2712
J2 : dans la délicate traversée de la pente nord-ouest, vers le point coté 2712

J2 : dans la délicate traversée de la pente nord-ouest, vers le point coté 2712

J2 : vue vers la Draye Longue (skiée en 2014) et le pic de Disdier

J2 : vue vers la Draye Longue (skiée en 2014) et le pic de Disdier

J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière
J2 : dans la très belle descente de la Parière

J2 : dans la très belle descente de la Parière

J2 : arrivée au hameau du Rif du Sap

J2 : arrivée au hameau du Rif du Sap

24 mars 2019 7 24 /03 /mars /2019 20:59

Le 24 mars 2019

Demi-journée de randonnée du vertige au-dessus de la calanque de Figuerolles à La Ciotat. Sa rive droite offre de courtes et faciles randonnées parfois un peu aériennes et grimpantes vers la Tête du Lion, dans le cadre exceptionnel de l’extrémité sud des falaises soubeyrannes : de grandes falaises de conglomérat au-dessus de la mer, creusées par l’érosion en énormes niches où se réfugient les pins et aux dévers découpés en gargouilles. Des sentiers balisés de bleu  louvoient au plus facile entre ces niches sur des vires plus ou moins larget et permettent d’atteindre par un itinéraire en spirale le sommet du rocher du Capucin au profil si caractéristique depuis la calanque. Ceci peut se faire en solo pour les marcheurs-grimpeurs au pied sûr dans des cotations III sur galets, sinon quelques plaquettes (dont certaines ont été détruites ou enlevées) protègent les passages les plus raides, qui sont aussi les plus exposés. 

devant le rocher du Capucin

devant le rocher du Capucin

vue du sommet du Rocher sur les falaises du Bec de l'Aigle et la calanque de Figuerolles
vue du sommet du Rocher sur les falaises du Bec de l'Aigle et la calanque de Figuerolles

vue du sommet du Rocher sur les falaises du Bec de l'Aigle et la calanque de Figuerolles

23 mars 2019 6 23 /03 /mars /2019 21:55

Le 23 mars 2019

Voie "la promesse des profondeurs"

6 longueurs, équipé, 6b max
5c/6a/5b/6a+/6b/6b


Retour dans la voie désormais classique de « la promesse des profondeurs », que nous avions gravie encore confidentielle en 2015. Après des mois de février et mars souvent passés en chaussons de ski, de la Turquie aux Alpes en passant par la Sicile et les Abruzzes, on remet les chaussons d’escalade après 4 semaines sans toucher le caillou, dans cette voie bien équipée mais dotée d’une grosse ambiance au fond d’une profonde cheminée-fissure déversante ou dans sa sortie plein gaz 100 mètres au-dessus de la mer. En 4 ans le rocher s’est encore assaini (mais pas patiné) sur cet itinéraire qui louvoie entre des curiosités géologiques de Castelvieil - boyau, cheminée spéléo concrétionnée, bloc suspendu, fenêtre naturelle… – entre autres le sable qui tapissait les prises de L2 a disparu, mais cette voie reste toujours aussi majeure par la beauté de son cadre et de son escalade, la première (non gravie en 2015) et troisième longueurs confinant même à l’exceptionnel ! L1 passe par un boyau déversant débouchant sur le fjord de Castelvieil et ses eaux bleu azur, de l’escalade facile sur gros bacs dans un pan légèrement déversant, alors que L3 remonte une fissure-dièdre déversante, où l’on évolue en écart sur 2 pans concrétionnés, un vide croissant entre les jambes, avec en ligne de mire le formidable relais dans une fenêtre naturelle sur bloc suspendu ! L’escalade se fait par la suite moins grandiose mais plus technique durant 2 longueurs en 6b, avec des fissures larges (où le ramonage peut même aider) puis un mur raide et technique où il importe de bien louvoyer entre les points. 
Une voie dont il semble donc difficile de se lasser, et que je parcourrai encore sans doute au prochain quinquennat !

ambiance calanques : les couleurs d'En Vau et les gabians
ambiance calanques : les couleurs d'En Vau et les gabians
ambiance calanques : les couleurs d'En Vau et les gabians

ambiance calanques : les couleurs d'En Vau et les gabians

dans les rappels d'accès
dans les rappels d'accès
dans les rappels d'accès
dans les rappels d'accès

dans les rappels d'accès

dans la première longueur, au-dessus du fjord
dans la première longueur, au-dessus du fjord
dans la première longueur, au-dessus du fjord

dans la première longueur, au-dessus du fjord

dans L2, sur des rondeurs oulesques
dans L2, sur des rondeurs oulesques

dans L2, sur des rondeurs oulesques

mauve royale au relais sommital de L2

mauve royale au relais sommital de L2

dans L3, sous la fissure spéléo de L4
dans L3, sous la fissure spéléo de L4

dans L3, sous la fissure spéléo de L4

dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu
dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu

dans la formidable L4 et son relais sommital suspendu

au départ de L5, dans la fenêtre naturelle
au départ de L5, dans la fenêtre naturelle

au départ de L5, dans la fenêtre naturelle

L6 en mur raide
L6 en mur raide
L6 en mur raide
L6 en mur raide

L6 en mur raide

vue sur la falaise de l'Oule au retour

vue sur la falaise de l'Oule au retour

22 mars 2019 5 22 /03 /mars /2019 20:45

 

Pizzo d'Intermesoli depuis Campo Imperatore, par la selle du Monte Aquila, le Val Maone et la sella dei Grilli

Sommet : 2650 m

Dénivelée : 2000 m (2100-2000-2400-1850-2650-1850-2500-1950-2100)

Difficulté : 3.3

Journée de ski impromptue dans les Abruzzes, 1 an après la semaine passée sur place. Vu l’enneigement faible de cet hiver, le départ sera fait du haut de téléphérique de Campo Imperatore, qui propulse directement à 2100 m au pied du Corno Grande, le sommet du massif. Sur les pentes de l’Intermesoli la neige restera délicieuse tout du long des 2000 mètres de dénivelée, y compris tard dans l’après-midi : une fine couche de poudreuse ou le plus souvent de neige en cours de dégel soyeuse en surface se donne sous les spatules en toutes altitudes et orientations. La descente, seul, de la face ouest de l’Intermesoli, sur une neige al dente au milieu des tours de calcaire blanc et des chamois, constituera d’ailleurs le crux de plaisir de cette longue et belle journée.

sous la selle du Monte Aquila

sous la selle du Monte Aquila

descente nord dans le val Maone, refuge encore enfoui
descente nord dans le val Maone, refuge encore enfoui

descente nord dans le val Maone, refuge encore enfoui

dans la montée à l'Intermesoli, devant le Corno Grande et sous les chamois
dans la montée à l'Intermesoli, devant le Corno Grande et sous les chamois

dans la montée à l'Intermesoli, devant le Corno Grande et sous les chamois

au sommet de l'Intermesoli, devant la grande face nord-ouest du Corno Grande
au sommet de l'Intermesoli, devant la grande face nord-ouest du Corno Grande

au sommet de l'Intermesoli, devant la grande face nord-ouest du Corno Grande

à la descente de la face ouest de l'Intermesoli, parmi les capridés et les tours de calcaire blanc
à la descente de la face ouest de l'Intermesoli, parmi les capridés et les tours de calcaire blanc
à la descente de la face ouest de l'Intermesoli, parmi les capridés et les tours de calcaire blanc
à la descente de la face ouest de l'Intermesoli, parmi les capridés et les tours de calcaire blanc

à la descente de la face ouest de l'Intermesoli, parmi les capridés et les tours de calcaire blanc

moquette dans la descente de la sella dei Grilli au-dessus du Val Maone
moquette dans la descente de la sella dei Grilli au-dessus du Val Maone

moquette dans la descente de la sella dei Grilli au-dessus du Val Maone

les nuages à l'assaut du Val Maone
les nuages à l'assaut du Val Maone
les nuages à l'assaut du Val Maone
les nuages à l'assaut du Val Maone

les nuages à l'assaut du Val Maone

le chaînon du Corno Grande vu depuis l'Aquila
le chaînon du Corno Grande vu depuis l'Aquila

le chaînon du Corno Grande vu depuis l'Aquila

22 mars 2019 5 22 /03 /mars /2019 20:40

Les 19 et 22 mars 2019

Quelques photos prises dans les avions entre Marseille, Paris et Rome en cette mi-mars 2019, avec les Alpes, la Corse ou les calanques qui arborent  leurs blancheurs de neige, de sable ou calcaire sous la carlingue. 

le 19 mars, Paris-Rome : les glaciers de la Vanoise puis le Viso
le 19 mars, Paris-Rome : les glaciers de la Vanoise puis le Viso

le 19 mars, Paris-Rome : les glaciers de la Vanoise puis le Viso

le 22 mars, Rome Marseille : la Corse, plage de Saleccia aux Agriates puis la cordillère du Cinto
le 22 mars, Rome Marseille : la Corse, plage de Saleccia aux Agriates puis la cordillère du Cinto

le 22 mars, Rome Marseille : la Corse, plage de Saleccia aux Agriates puis la cordillère du Cinto

le 22 mars, Rome Marseille : les calanques, les soubeyrannes, puis les vallons au sud de la crête de l'Estret puis le Puget et la Candelle
le 22 mars, Rome Marseille : les calanques, les soubeyrannes, puis les vallons au sud de la crête de l'Estret puis le Puget et la Candelle
le 22 mars, Rome Marseille : les calanques, les soubeyrannes, puis les vallons au sud de la crête de l'Estret puis le Puget et la Candelle

le 22 mars, Rome Marseille : les calanques, les soubeyrannes, puis les vallons au sud de la crête de l'Estret puis le Puget et la Candelle

17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 21:54

Le 17 mars 2019

Pic Traversier, depuis le pont de Lariane en aller-retour

Sommet : 2900 m

Dénivelée : 900 m

Difficulté : 3.1

Comme un an plus tôt sur le Chauvet, séance de ski de randonnée avec enfant sur le dos dans le Queyras, pour le Pic Traversier au-dessus du Pont de Lariane, un itinéraire court, sûr en termes nivologiques et peu raide bien adapté à la charge (importante et mal équilibrée !) du jour ! On profitera comme souvent en ce mois  de mars de bonnes conditions de ski, avec de la poudreuse sur la portion haute et transformée plus  bas, nonobstant la neige pourrie en profondeur l’après-midi des 100 mètres terminaux. Si la qualité est là, la quantité l’est beaucoup moins, avec en cette mi-mars un enneigement plutôt d’une digne d’une fin avril et des adrets déneigés jusqu’à plus de 2500 mètres ! Faute de matière première, la saison de ski de randonnée risque de s’achever prématurément dans les massifs les plus méridionaux, en cet hiver 2019 qui bat des records de sécheresse et titille ceux de chaleur dans le sud-est de la France.

à la montée, sur une classique fréquentée
à la montée, sur une classique fréquentée

à la montée, sur une classique fréquentée

vues du sommet du Pic Traversier, vers la Taillante, les Toillies et l'observatoire du pic de Château Renard
vues du sommet du Pic Traversier, vers la Taillante, les Toillies et l'observatoire du pic de Château Renard
vues du sommet du Pic Traversier, vers la Taillante, les Toillies et l'observatoire du pic de Château Renard

vues du sommet du Pic Traversier, vers la Taillante, les Toillies et l'observatoire du pic de Château Renard

à la descente, le skieur à 2 têtes !
à la descente, le skieur à 2 têtes !

à la descente, le skieur à 2 têtes !

17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 21:51

Le 16 mars 2019

Entre 2 descentes d’initiation, courte séance de ski de randonnée vers le belvédère de l’Homme de Pierre au départ de la station de Risoul, une montée sèche de 400 mètres… bien trasnspirante vu la chaleur de la journée, mais avec une fine couche de neige restée poudreuse en ubac au-dessus de 2000 m !

sur la crête entre le belvédère de l’Homme de Pierre et le pic du Clocher
sur la crête entre le belvédère de l’Homme de Pierre et le pic du Clocher

sur la crête entre le belvédère de l’Homme de Pierre et le pic du Clocher

poudreuse sous la crête

poudreuse sous la crête

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