2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 09:19

En décembre 2004 avec Clémence

Randonnée chamelière d'une semaine à l'extrémité sud-ouest de la Lybie, près de la ville de Ghat, dans le massif de l'Akakous, mêlant pitons rocheux et dunes de sable rouge.

Les paysages de ce massif Saharien, situé juste à l'est du splendide Tassili N'Ajjer Algérien découvert en 2002 avec Cyril, sont effectivement magnifiques, mais l'absence de profondes gorges comme celles du Tassili N'Ajjer permet l'accès des véhicules 4*4, et donc génère un fort flux de touristes motorisés. Les traces de pneus dans le sable et le rugissement des moteurs nuisent à la sérénité des lieux, et c'est donc avec une légère déception que s'achèvera ce séjour dans le Sahara Lybien.



 

la caravane des guides

 

 

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un mélange de sable et de roches

 

 

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idem



idem, des dunes au milieu des falaises de grès


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le grand erg vu d'avion, des motifs dunaires presque géométriques déterminés par les vents

2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 09:16
En septembre 2007 avec Nicolas

Visite du salar de Uyuni et du sud Lipez à l'extrémité sud-ouest de la Bolivie


Paysages lunaires et déserts d'altitude ponctués de lacs fortement minéralisés aux couleurs rouges ou vertes, sur lesquels s'ébattent des milliers de flamants roses.



sur le salar de Uyuni et ses motifs hexagonaux répétés à l'infini



les cactus de l'isla del pescado sur le salar de Uyuni



troupeau de lamas près du salar de Uyuni



les premières lagunes du sud-Lipez à 4500 m, flamants roses et volcans pelés à près de 6000 m







la laguna Colorado à 4500 m et ses infinies nuances de vert, rouge et blanc et ses îles blanches de gypse, borax et sodium



un champ de geysers enneigés à 5000 m à l'aube



la laguna verde



la yareta, mousse verte dure poussant sur les rochers
2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 09:12

En septembre 2006 avec Nicolas

Croisière d'une semaine dans les îles Galapagos. L'archipel constitue un véritable zoo (et aquarium) à ciel ouvert et un laboratoire du darwinisme (la couleur des pattes des fous dépend par exemple des îles !).

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fous et lézards

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otaries en séance bronzage



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flamants roses au bord d'une lagune à la végétation contrastée


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crabe aux couleurs chatoyantes, prêt à l'attaque

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pélican peu farouche sur une plage de sable rouge


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les incroyables couleurs des îles Galapagos, à droite notre voilier


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une des espèces endémiques : les iguanes marins (plus petits que leurs homologues terrestres)

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otarie et iguanes marins sur la plage

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l'otarie prend la pose

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une frégate en pleine parade nuptiale

2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 09:07

En décembre 2003 avec Clémence

Voyage de 10 jours à travers les ruines de Persépolis, les mosquées de Shiraz et Ispahan et surtout une population incroyablement accueillante et ouverte.



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les ruines de Persépolis près de Shiraz

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idem

 

 

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bas-reliefs à Persépolis

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bas-reliefs à Persépolis

 

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idem


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nécropoles de Naqsh-e Rostam près de Persépolis

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nécropole de Naqsh-e Rostam près de Persépolis

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idem

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mausolée de Roknaddin à Yazd

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la mosquée de l'Imam ou du Shah, la plus fabuleuse construction humaine qu"il m'a été donné de voir jusqu'à aujourd'hui, un éblouissement au milieu des minarets et des faïences bleues, constuite au début du dix-septième siècle

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détail de la mosquée du Chah

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coupole de la mosquée des femmes à Ispahan

 

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idem

 

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idem, vue de l'intérieur

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la place de l'Imam à Ispahan et la mosquée du Shah

 

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idem



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propagande anti-américaine sur les murs de l'ex-ambassade des USA à Téhéran

 

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idem

2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 09:03

Le 31 octobre 2006

Sommet du Japon à près de 3800 m, volcan au repos situé à une poignée d'heures de la mégalopole Tokyoïte et parcouru par des millions de Japonais l'été une fois ses flancs déneigés.

Sommet : 3800 m
Dénivelée : 1500 m
Difficulté : F par la voie normale Kawaguchiko parcourur

En saison hivernale, son ascension, théoriquement interdite et donc nettement plus intimiste, présente un caractère plus alpin : même si les pentes, non glacaires, ne dépassent jamais les 40° sur ce cône volcanique presque parfait, les conditions nivo-météorologiques peuvent se montrer très sévères sur ce sommet isolé situé à quelques dizaines de kilomètres du Pacifique et donc très venté et arrosé.

C'est d'ailleurs sur le mont Fuji que j'ai sans doute subi le froid le plus insupportable de ma vie de montagnard, bien plus que dans les Alpes en hiver ou sur les 6000 de la Cordillère des Andes. Un froid modéré (environ -10°C au sommet) mais un vent très fort, titillant sans doute les 100 km/h, a rendu la station sur les bords du cratère sommital intenable lors de mon ascension fin octobre 2006, la démonstration par l'inconfort thermique du windchill factor !

Seconde ascension tentée à skis en avril 2007 mais avortée avant même d'avoir commencé puisque les 20 km de la route d'approche n'avaient pas été déneigés suite à une chute de neige tardive... Un peu déçu d'avoir fait parcourir plus de 10000 km à mes skis pour rien, je me suis consolé en capturant le Fuji sur une pellicule, sur premier plan de fleurs de cerisiers...

vue du cratère sommital le 31 octobre 2006, froid polaire sous un vent glacial venu directement du Pacifique

vue du cratère sommital le 31 octobre 2006, froid polaire sous un vent glacial venu directement du Pacifique

le temple sous les bords du cratère à 3600 m

le temple sous les bords du cratère à 3600 m

vue du sommet vers le nord et la voie de montée qui vient d'être gravie

vue du sommet vers le nord et la voie de montée qui vient d'être gravie

l'image d'Epinal du Japon avec le cône parfait derrière les cerisiers en fleurs, avril 2007
l'image d'Epinal du Japon avec le cône parfait derrière les cerisiers en fleurs, avril 2007
l'image d'Epinal du Japon avec le cône parfait derrière les cerisiers en fleurs, avril 2007

l'image d'Epinal du Japon avec le cône parfait derrière les cerisiers en fleurs, avril 2007

1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 17:33

Les 28 et 29 août 2004 avec Jeanne

Sommet : 3750 m
Dénivelée : 2000 m sur 2 jours

A l’occasion d’un voyage professionnel à Seattle - une réunion sur le givrage des moteurs d’avions, découverte de l’état de Washington et de certains de ses glaciers pour rester sur une thématique glaciaire. 
Après le bivouac sur une plage de l’Olympic national park, et la montée au camp Muir versant sud du Mont Rainier, ascension en 2 jours du Mont Adams, un autre volcan des Cascades, par sa voie normale de l'éperon sud. Comme le mont Rainier situé plus au nord, c’est un stratovolcan proéminent, qui domine de plus de 3000 mètres les grandes plaines environnantes avec sa couronne de glaciers, mais dont la voie normale s’avère par contre beaucoup plus facile que celle du Rainier : une simple mais longue randonnée, sans aucune difficulté technique et sur terrain non glaciaire. Elle se fait habituellement en 2 jours avec bivouac sur l’épaule sud à 2800 m, un grand terrain plat offrant de beaux points de vue sur le soleil se couchant près du Mont Saint-Helen à l’ouest. La suite reste de la randonnée de « haute montagne »  sur un terrain facile, moins ingrat lorsqu’il est enneigé. Le sommet offre une belle ambiance haute montagne avec sa vue à 360° sur les volcans voisins (Rainier et Hood) et les glaciers qui plongent avec force séracs vers les immenses forêts de conifères qui ceinturent la montagne. Une impression de wilderness et d’immensité peu commune dans les Alpes, et des ascensions qu’il faudrait refaire à skis – y compris tard en saison, le terrain s’y prêtant ici à merveille.

le sommet et la ligne d'ascension sur l'éperon vus du bivouac à 2800 m

le sommet et la ligne d'ascension sur l'éperon vus du bivouac à 2800 m

lever de lune sur les roches volcaniques
lever de lune sur les roches volcaniques

lever de lune sur les roches volcaniques

coucher de soleil sur le cône volcanique du mont Saint-Helen
coucher de soleil sur le cône volcanique du mont Saint-Helen

coucher de soleil sur le cône volcanique du mont Saint-Helen

du sommet, contraste entre la calotte glaciaire sommitale et les "collines" alentour, vue sur le glacier est et ses imposants séracs
du sommet, contraste entre la calotte glaciaire sommitale et les "collines" alentour, vue sur le glacier est et ses imposants séracs

du sommet, contraste entre la calotte glaciaire sommitale et les "collines" alentour, vue sur le glacier est et ses imposants séracs

1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 17:30
En juillet 2009 avec François-Xavier

Tentative dans la voie Escarra

Sommet : 3550 m
Dénivelée : 2500 m
Difficulté : PD

Arrêt à la rimaye à 2900 m en raison de la neige fraîche et glace posées sur les rochers


aurore sur le versant nord du Vieux Chaillol


la rimaye du glacier de l'Olan, couverte de fraîche



1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 17:27
En avril 2009 avec Franck par le couloir nord

Sommet : 2800 m
Dénivelée : 1200 m
Difficulté : 4.2



brassage à la montée juste sous le sommet


sur l'arête sommitale


à l'ouest l'orage menace


une excellente poudreuse d'avril...
1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 10:20

Les 19 et 20 août 2008 avec Nicolas et François-Xavier

Ascension par la voie normale Owen-Spalding au départ de Jenny lake avec bivouac à 3200 m
 
Sommet : 4200 m
Dénivelée : 2100 m
Difficulté : PD+, quelques pas de III non protégés sous le sommet, la descente comporte un rappel de 50 mètres

Une montagne et un massif mythiques aux Etats-Unis, avec le profil dentelé du Grand Teton vu de la Yellowstone River aussi connu que celui du Cervin vu de Zermatt en Suisse...  C’est un sommet granitique dominant les plaines du Wyoming de près de 2000 mètres, situé non loin du célèbre parc de Yellowstone et ses lacs sulfurés multicolores dont nous arrivons.
Son ascension n'est pas aussi difficile qu'il peut sembler du bas, et se réalise en 2 jours depuis le centre d’accueil des visiteurs de Jenny lake à un peu plus de 2000 mètres. Un bon sentier, sur lequel on surprendra un jeune ours noir friand de baies sauvages, mène à un bon emplacement de bivouac sur sable glaciaire à 3200 mètres. De là l’itinéraire remonte des rampes de rocher versant sud sur un mode scrambling, terme anglais sans équivalent en français et qui signifie escalade facile mais tout de même mains sur le rocher, escalade faite généralement sur un mode sportif et sans équipement de sécurité (corde…). Le bastion sommital, doit être contourné versant ouest et forcé par quelques dizaines de mètres d'escalade, courte et facile (pas plus de III) mais très aérienne, avant d’atteindre le sommet du Grand Teton. Un sommet haut perché à la silhouette élancée qui a su taper dans l’œil des canadiens francophones qui l’ont découvert et baptisé ainsi, un nom évocateur pour nous 3 petits Frenchies ascensionnistes !

vue depuis la Yellowstone River sur les sommets 2300 m plus hauts, le Grand Teton au centre-droit

vue depuis la Yellowstone River sur les sommets 2300 m plus hauts, le Grand Teton au centre-droit

une grosse peluche suprise sur le sentier de montée au bivouac, l'ours noir s'est approché de nous, plus curieux qu'agressif, et nous avons du agiter un bâton pour le faire fuir... Le bivouac sera plus tranquille !

une grosse peluche suprise sur le sentier de montée au bivouac, l'ours noir s'est approché de nous, plus curieux qu'agressif, et nous avons du agiter un bâton pour le faire fuir... Le bivouac sera plus tranquille !

sur le sentier de montée au bivouac, au-dessus des lacs du départ

sur le sentier de montée au bivouac, au-dessus des lacs du départ

premiers rayons au début du second jour

premiers rayons au début du second jour

vue du sommet sur les lacs à droite qui constituent le point de départ, et sur les reliques glaciaires du massif
vue du sommet sur les lacs à droite qui constituent le point de départ, et sur les reliques glaciaires du massif

vue du sommet sur les lacs à droite qui constituent le point de départ, et sur les reliques glaciaires du massif

1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 10:18
En juillet 2006

Volcan éteint à 3100 m, moins imposant que son voisin le Shasta mais doté de phénomènes volcaniques intéressants (marmites du diable, lacs acides...).

Sommet : 3200 m
Dénivelée : 600 m
Difficulté : F



le pic Lassen vu depuis un lac acide aux tons gris-vert


les toilettes sur la route à 2500 m, encore plus de 2 mètres de neige à la fin juillet !

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