Le 11 août 2010 avec François-Xavier

Balade à la journée vers la laguna Shallap et le glacier éponyme perché au-dessus, dont le recul a mis a nu de magnifiques rochers polis aux teintes rouges. Dernière ascension dans ce massif Péruvien de la Cordillère Blanche splendide entre autres de par ses ice-flutes ou champignons de neige.

la cascade sous le glacier

les rochers polis

idem

idem

variations en rouge et noir

les mousses vertes lacustres typiques de la Cordillère Blanche

Du 29 juillet au 4 août 2010 avec François-Xavier et notre guide William

Ascension de l'Alpamayo par la directe française au cours du trek de Santa Cruz

Sommet : 5950 m

Dénivelée :

J1 : 2900 m - 3750 m

J2 : 3750 m - 4350 m

J3 : 4350 m - 5450 m - 5300 m

J4 : 5300 m - 5950 m - 5300 m

J5 : 5300 m - 5450 m - 4350 m

J6 : 4350 m - 4200 m - 4750 m - 3800 m

J7 : 3800 m - 3400 m - 3700 m

Difficulté : D+, 500 m de face en neige et glace à 60 degrés de moyenne, rimaye verticale sur 3 mètres et dernière longueur à 70 degrés

Splendide sommet, parfois surnommé "plus belle montagne du monde", mais qui a (un peu) perdu de sa superbe avec le réchauffement climatique et l'assèchement de sa face, moins riche en ice flutes et autres champignons de neige qu'il y a quelques décennies. Cette déglaciation a d'ailleurs rendu dangereuse la voie historique d'ascension Ferrari, désormais très exposée aux chutes de glace, et dont il convient de se détourner au profit de la voie des Français plus raide mais mieux abritée.

L'ascension de cette bien-nomée "directe française" s'est avérée très variée, avec en approche 3 jours de trek puis de randonnée glaciaire avant l'ascension finale dans la nuit, sous un froid mordant mais heureusement sans vent. La face se constituait principalement de neige dure présentant une bonne accroche, avec comme seules difficultés les 2 ou 3 mètres de surplomb de la rimaye en bas de la face et quelques passage en glace sous le sommet. Descente sans histoires par les rappels équipés d'estacas (pieux à neige), la voie en étant équipée chaque début de saison par les guides locaux de Huaraz.

J1 : le Taulliraju (5850 m) vu depuis le campement de Llamacorral

J2 : vue du Quitaraju (6000 m)

J2 : la lagune Arhueycocha a 4400 m, au fond le Ririjirca (5800 m)

J2 : coucher de soleil depuis la camp de base de l'Alpamayo sur Paria (5600 m)

J2 : crépuscule depuis le camp de base de l'Alpamayo sur la pyramide parfaite de l'Artesonraju (6000 m)

J3 : sur le glacier sud de l'Alpamayo vue sur la cime éponyme

J3 : sur le glacier sud de l'Alpamayo vue sur la cîme éponyme

J3 : sur le glacier sud de l'Alpamayo vue sur la cîme éponyme

J3 : vue vers la lagune Arhueycocha dominée par le Pucajirca Sur (6050 m)

J3 : à l'arrivée au col à 5450 m

J3 : arrivée au camp supérieur de l'Alpamayo a 5300 m, sous la face a gravir

J3 : vue du camp supérieur vers le col a 5450 m

J3 : vue de la face à gravir le lendemain

J4 : lever de soleil sur Santa Cruz

J4 : William dans les dernières longueurs

J4 : en haut de la face vers 5800 m

J4 : William dans le raidillon du haut vers 5900 m

J4 : dans la dernière longueur

J4 : vue du sommet de l'Alpamayo vers le Pucajirca Sur

J4 : vue de détail du sommet vers le Pucajirca Sur

J4 : vue du sommet vers les Huascaran à gauche et le camp supérieur à droite

J4 : vue plongeante du sommet vers la face parcourue et le camp supérieur 

J4 : premiers rappels de descente

J4 : dans les premiers rappels

J4 : dans les rappels sous les champignons de glace sommitaux

J4 : dans les rappels sous les champignons de glace sommitaux

J4 : passage de la rimaye en rappel

J4 : lecture au camp supérieur face au Quitaraju

J4 : crépuscule au camp supérieur

J4 : crépuscule au camp supérieur

J4 : crépuscule au camp supérieur

J4 : crépuscule au camp supérieur, vue vers les Santa Cruz

J5 : avant le démontage des tentes face à l'Alpamayo

J5 : des cordées dans la face près du sommet

J6 : dernier camp de Huaripampa face au versant est du Taulliraju