Le 27 septembre 2025

Sur la route du retour vers Montréal, escale dans la ville de Québec connue pour son grand centre historique et son hôtel Frontenac aux allures de château médiéval mais bâti à la toute fin du dix-neuvième siècle, un simili hôtel Excalibur de Las Vegas en version québécoise un peu moins kitsch ! Une jolie visite sous le soleil… et la foule touristique, après une escale déjà avortée quelques heures plus tôt au parc de la Jacques Cartier pour cause de quota d’accès déjà atteint en ce samedi de beau temps !

Le 26 septembre 2025

Après les réunions de la semaine à Montréal et un trajet de plus de 6 heures la veille intégralement sous la pluie, séjour de 2 nuits près de Tadoussac pour des balades sur le « fleuve » Saint-Laurent (plutôt un large estuaire aux eaux salées ici…) et le long du fjord du Saguenay aux allures effectivement norvégiennes dans ce bras de mer étroit entouré de versants raides, sur au plus 300 mètres de hauteur ici…
Le brouillard du aux pluies de la veille se lèvera heureusement une fois sur le bateau, pour nous laisser observer deux cétacés, une baleine à bosse d’une quinzaine de mètres, puis une bleue d’une… trentaine, les souffles permettant repérer les mammifères et d’admirer les géants entre deux de leurs plongées. Une observation inédite pour moi, si ce n’est un dos de rorqual vu en grimpant à Castelvieil en 2011 (salut à I.) !

Le 25 avril 2025

Nouveau déplacement professionnel à Ottawa, cette fois en mode express sans prolongation pour raisons personnelles, l’occasion toutefois d’arpenter le soir ou en fin de mission la capitale fédérale canadienne, à pieds vers ses bâtiments historiques, hôtel ou gouvernementaux, ou en courant le long du Canal Rideau, entre restes de neige déblayée et oies du Canada !

Le 23 mai 2024

Balade à la demi-journée vers le nord de la presqu'île de Sechelt et le détroit des Skookumchuck Narrows, là où les marées générent entre l'océan au nord et le grand fjord presque fermé de Sechelt (jusqu'à 2 mètres d'écart en cote) de puissants courants, des vagues et tourbillons aisément observables depuis les points de vue accessibles par une petite heure de marche depuis le hameau d'Egmont. C'est sans doute le point d'intérêt touristique le plus fréquenté de la presqu'île, et c'est totalement justifié par le caractère impressionnant de ce phénomène naturel rare et la beauté du cheminement dans la forêt pluviale tempérée avec ses mousses et fougères envahissant les sous-bois. Comme la veille en kayak, la pause au point de vue permettra encore d'observer des phoques en chasse dans les tourbillons des rapides (!) ainsi que des couples de pyrargues et de canards.

Le 3 mars 2023

Itinéraire : dans le parc national du Mont Tremblantparking de la Montagne Noire - Mont du Lac Lézard - parking de la Montagne Noire - belvédère - parking de la Montagne Noire puis boucle à l'est de la Montagne Grise (la Montagne Blanche étant située entre la Montagne Grise et la Montagne Noire...)

Sommet : 800 m au Mont du Lac Lézard

Dénivelée : 800 m (400-800-400-600-400 puis 400-600-400)

Difficulté : 1.2

Puisque le voyage d'affaires initialement prévu en Colombie Britannique se fera finalement dans l'Ontario, on essaie de faire contre mauvaise fortune bon ski, et les skis seront tout de même de la partie aux cotés du PC pour aller goûter la poudreuse des cousaings d'outre-Atlantique ; ce serait du gâchis de kérosène que de voyager aussi loing pour exclusivement travailler ! 
Bien m'en a pris, puisque ce sera finalement du très bon ski cette après-midi, sur le terrain évidemment peu alpin des Laurentides : dénivelées et pentes n'excédant pas 400 mètres et 30 degrés, forêts parfois denses (viser les bouleaux et les érables plutôt que les sapins). Mais la météo (grand beau, pas de vent, températures de saison avec au départ à 400 m -15°C le matin, -1°C au plus chaud) et neige parfaite feront oublier ces limitations intrinsèques, avec de la peuf partout, au total 40 à 50 cm de poudreuse légère sur un total d'environ 1 mètre à 400 mètres d'altitude, tout (souches, cailloux....) étant parfaitement recouvert.  

Le ski de montagne semble populaire au Québec, spécialement depuis le covid, parking de départ plein de randonneurs, particulièrement à skis, sur des itinéraires balisés et réglementés (enregistrement électronique théoriquement indispensable !) rappelant ce qui régit les parcs états-uniens... Il faut juste être bien greyé après toutes ces bordées, tabernacle !