5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 18:57

Le 28 et 30 novembre 2016

Après les canyons de grès et une virée très décevante vers l’île de Hengam, plus fréquentée par les promène-couillons que les dauphins, et aux fonds marins très pauvres, on découvre les beaux déserts de l’intérieur de Qeshm, d’abord dans la vallée de Tandis puis celle dite des étoiles. Ce dernier site proche de la ville de Qeshm draine en cette semaine fériée en Iran les nombreux touristes qui y résident, attirés par un réseau réduit mais impressionnant de canyons taillés dans un le grès. Par contre la vallée de Tandis offre un environnement plus préservé et une géologie variée et surprenante de plateaux calcaires et gréseux entaillés par l’érosion, qui a dessiné un paysage lunaire ou même martien d’amphithéâtres naturels et de de demoiselles coiffées aux formes ocre. On pense encore parfois aux paysages de l’Ouest américain transposés au bord du Golfe Persique, le grès étant ici plus ocre que rouge, mais le phénomène marquant pour nous aura été la très grande fragilité et instabilité de ces châteaux de cartes de calcaire et de grès : les couches de calcaire sont partout fissurées et creusées par les rares pluies, on évolue donc sur des tables de calcaire en équilibre sur des piliers de grès tendre, voire déjà penchées et en cours d’effondrement, donnant une impression peu rassurante d’instabilité globale ! Rarement je me serais senti autant en danger sur du rocher peu ou prou horizontal, mais on verra encore plus instable et piégeux sur le glacier de sel voisin !

les tours du vent (système de climatisation) sur l'île de Qeshm

les tours du vent (système de climatisation) sur l'île de Qeshm

le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !
le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !

le 28 novembre : la vallée de Tandis, et ses paysages de plateaux calcaire et gréseux érodés, un air de Tassili saharien !

le 30 novembre : Stars Valley
le 30 novembre : Stars Valley

le 30 novembre : Stars Valley

13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 16:50

Le 10 mars 2016

Après les 4 jours de ski précédents et leur dénivelée allant crescendo jusqu’aux 1900 mètres de la veille, une perturbation orageuse venue du sud et son cortège de grésil et de vent violent nous offre l’excuse rêvée pour une journée de repos. On s’oriente donc vers la Cappadoce, à une heure et demi de route de notre camp de base de Camardi, et sa magnifique « vallée rouge », en fait plus ocre, jaune et grise que rouge ! Cet enchevêtrement de profondes vallées taillées par l’érosion dans le tuf multicolore, lui-même taillé d’églises troglodytes, offre au randonneur un échantillon de formes et de couleurs typiquement « cappadociennes », le tout magnifié ce jour par les arbres fruitiers en fleurs et l’éclairage pré-orageux.

dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison
dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison
dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison
dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison
dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison
dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison

dans les badlands de tuf, entre strates colorées et arbres en floraison

les pitons de tuf et leurs églises troglodytes
les pitons de tuf et leurs églises troglodytes
les pitons de tuf et leurs églises troglodytes
les pitons de tuf et leurs églises troglodytes
les pitons de tuf et leurs églises troglodytes

les pitons de tuf et leurs églises troglodytes

5 décembre 2015 6 05 /12 /décembre /2015 08:20

Du 26 novembre au 03 décembre 2015

Une sélection de photos d’une semaine de voyage à Oman, pays de la péninsule arabique découvert en 2012 et parcouru depuis à de très nombreuses reprises... Ce vaste désert de rocailles et de sable comprend en fait de nombreuses oasis, de verdure au fond des canyons taillés dans le calcaire des montagnes du Hajar, et de vie marine au-dessus des récifs coralliens. On s’attachera donc à parcourir ces eaux douces ou salées en canyonisme, randonnée aquatique ou plongée libre (en masque et tuba), le tout entrecoupé de magnifiques bivouacs sur le sable des plages ou du désert de Wahiba…

dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
dans les eaux du désert
4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 15:16

Le 1er décembre 2015

Après la séance de masque et tuba la veille à Bandar Khayran, nouvelle journée de plongée libre (joli terme pour l’apnée !), cette fois-ci sur le récif le plus réputé d’Oman, à savoir celui des îles Daymaniyat au large de Muscat. Après une petite heure de bateau on atteint ce chapelet d’îles à peine émergées entourées d’un récif corallien effectivement magnifique, riche, dense et varié à l’instar de ce que j’ai pu voir par exemple à Madagascar ou en Indonésie. Dans la jungle de corail mou ou dur, de tables et de cerveaux de polypes, on trouve en abondance les poissons multicolores habituels dans les récifs coralliens, mais aussi tortues, seiches ou murènes rencontrés un peu moins fréquemment plus près du continent. Une très belle destination de plongée donc, qui plus est dans une eau moins trouble qu’ailleurs à Oman…

poissons perroquet, espèce parmi les plus répandues dans les eaux superficielles Omanaises

poissons perroquet, espèce parmi les plus répandues dans les eaux superficielles Omanaises

banc de poissons en plein nourrissage au plancton

banc de poissons en plein nourrissage au plancton

une tortue peu farouche

une tortue peu farouche

murène un peu plus farouche...

murène un peu plus farouche...

calamars

calamars

seiches en pleine étreinte, pas dérangés par le voyeur en masque et tuba !

seiches en pleine étreinte, pas dérangés par le voyeur en masque et tuba !

4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 15:09

Le 30 novembre 2015

Retour dans la mangrove de Bandar Khayran, dont le littoral des îles recèle des récifs coralliens à la riche vie marine. L’île est de Bandar Khayran, découverte en avril 2013 par vent fort, temps couvert et températures frisquettes (un comble à Oman !), s’atteint à la nage par un court bras de mer d’une centaine de mètres. Bien loin de l’aridité et de la végétation steppique qui caractérise sa partie émergée ses fonds regorgent de formations coralliennes et de sa faune habituelle : poissons perroquets, clowns, balistes, seiches et pour les parties sablonneuses raies et soles. Une oasis de vie sous-marine donc sous le désert Omanais, même si cette profusion de vie vient d’eaux riches en plancton et donc à la visibilité plutôt mauvaise.

vue des fjords de Bandar Khayran, l'île est à gauche

vue des fjords de Bandar Khayran, l'île est à gauche

les coraux du coin, du mou et du cerveau
les coraux du coin, du mou et du cerveau
les coraux du coin, du mou et du cerveau

les coraux du coin, du mou et du cerveau

poisson coffre

poisson coffre

au-dessus des coraux

au-dessus des coraux

une sole insuffisamment camouflée

une sole insuffisamment camouflée

seiches mâle et femelle

seiches mâle et femelle

raie dans le chenal et son eau trouble, attention à ne pas marcher sur le dard venimeux !

raie dans le chenal et son eau trouble, attention à ne pas marcher sur le dard venimeux !

4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 15:07

Les 28 et 29 novembre 2015

Avant et après le wadi Bani Khalid balades et bivouacs dans les dunes ocre et jaune du désert de Wahiba à quelques dizaines de kilomètres des montagnes du Hajar oriental. Un beau morceau d’erg facilement accessible par une piste de sable dur, mais drainant justement pas mal d’amateurs de conduites sur dunes dans ce pays où l’essence s’avère moins chère à la pompe que du soda… Nonobstant les quelques ronflements de 4*4 on profitera du confort de des bivouacs sous la voie lactée et sur le sable mou du lieu…

premier bivouac
premier bivouac

premier bivouac

les lignes du désert
les lignes du désert

les lignes du désert

balade dunaire au crépuscule
balade dunaire au crépuscule

balade dunaire au crépuscule

second bivouac sous la voie lactée

second bivouac sous la voie lactée

21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 20:56

Les 19 et 20 avril 2014

Après les neiges du massif du Doberar, exploré durant 3 jours de ski de randonnée, on change radicalement d’environnement pour le désert du Dasht-e Kavir à 3 heures de route au sud de Téhéran. La région de Kashan offre dans ses alentours des paysages de steppes herbeuses et de déserts de sable surmontés de hautes montagnes enneigées, un petit condensé de l’incroyable variété d’écosystèmes d’Iran… 

C’est ce que l’on explorera durant les 2 dernières journées de ce voyage au nord de l’Iran, entre lacs salés, ruines de citadelles de pisé, océans de dunes, villages perchés au-dessus des rubans de verdure des torrents et montagnes encore blanches.

C’est d’ailleurs au pied du Karkas, sommet de la région à 3900 m, que la géopolitique viendra s’immiscer dans notre voyage, puisque le versant nord de ce sommet, encore bien enneigé au-dessus de 2800 m et dominant les déserts de la région, fera frétiller nos spatules mais restera inaccessible puisque interdit… à cause de la vue possible du sommet sur… la centrale nucléaire de Natanz ! Connaissant l’intransigeance du régime des mollahs sur la question nucléaire et ne voulant pas défrayer la chronique judiciaire iranienne, on s’en tiendra donc bien sagement à la visite du magnifique village voisin d’Abyaneh, un peu frustrés malgré tout de ne pas pouvoir clore le ski en Iran par quelques courbes sur cette magnifique montagne posée au milieu des déserts.

On se rattrapera côté glisse le lendemain sur les dunes de sable du désert du Maranjab, un erg Perse de sable accumulé entre lac salé et montagnes pelées, avec son parfum de Sahara sur fond de montagnes enneigées !

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panoramique de la forêt d'immeubles de Téhéran au pied des 4000 enneigés de l'Alborz

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ruine de citadelle en pisé sur la route d'Abyaneh

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les maisons de pisé du village d'Abyaneh près de Kashan

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vue sur le fond de vallée cultivé

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retour vers la citadelle de pisé au bas de la vallée menant au village d'Abyaneh

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la mosquée du village de Bid Hand, au pied du Karkas

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vue sur le versant nord du Karkas (3900 m), une belle ligne de ski qui restera à l'état de projet...

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le lendemain, marche sur les dunes du désert du Maranjab au nord-est de Kashan

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flore du désert, sur les tiges...

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... ou prêtes à coloniser de nouveaux terrains

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faune du désert...

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... avec ses représentants parfois patibulaires

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le lac salé asséché de Namak et ses formations hexagonales, rappelant un peu les salars sud-américains

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propagande anti-américaine sur l'autoroute près de Qom

21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 18:00

Le 15 avril 2014

Le ciel couvert du matin réfrène toute velléité de ski, et on décide donc de filer en voiture vers l’est  afin de rejoindre le versant Caspienne de l’Alborz. La route nous offrira toute la gamme paysagère du nord de l’Iran : après les paysages désertiques et les curiosités géologiques  du versant sud de l’Alborz, en lisière du désert du Dasht-e Kavir, et une fois la crête de l’Alborz franchie, on retrouve peu à peu la végétation puis les premières traces d’eau dans les vasques de travertine de Badab-e Surt, avant la luxuriance des montagnes côtières noyées sous la forêt sub-tropicale aux fonds de vallons étagés en rizières… Du désert arabique aux rizières de Malaisie en passant par les sommets pelés enneigés d’Afghanistan, le massif de l’Alborz offre un singulier condensé d’Asie dans la taille d’une région française…

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paysages désertiques sur la route près de Garmsar, entre Téhéran et Semnan

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les courbes du désert

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 quelques heures de route plus tard, sur les terrasses de travertine de Badab-e Surt...

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...magnifiques, un Pamukkale coloré en miniature (l'étendue du site reste très limitée)

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photo de Nicolas

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dans la matinée du lendemain, dans les paysages verdoyants de la Caspienne et parmi les rizières de Zirab

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 18:44

Le 24 février 2014

Après 5 jours de ski de randonnée on quitte les couloirs de neige et les -10°C nocturnes des montagnes du Zagros pour rejoindre les oasis de palmiers et les orangers de la côté du golfe persique près de Bushehr. L’objectif est de trouver et de visiter le « glacier de sel » repéré sur Internet dans des publications de géologie, dont les quelques photos glanées laissent entrevoir toute l’étrangeté et la beauté.

Sur place à Shiraz ni notre chauffeur ni l’agence de voyages n’ont entendu parler de ce site, et c’est donc munis de vagues indications trouvées sur le Web que nous prenons la route du sud en quête d’un hypothétique « dôme de sel » dans les montagnes proches de Bushehr à 4 heures de route de Shiraz. Les locaux nous renseignent heureusement efficacement sur place, et lorsqu’une couche de blanc commence à se distinguer au loin sur une montagne on sait qu’il ne s’agit pas de neige mais bien de sel. A mesure que l’on se rapproche le gigantisme du site se confirme : du sommet d’une montagne nous dominant de près de 1000 mètres de dénivelée s’écoulent sur plusieurs kilomètres de large des langues glaciaires multicolores du sel-gemme blanc et rouge couvert de débris morainiques noirs. Leur morphologie rappelle beaucoup celle des glaciers alpins, si ce n’est que le sel remplace ici la glace, évidemment inconnue par les 20°C hivernaux et 45°C estivaux du golfe Persique ; pour plus de renseignement sur le mécanisme de formation des glaciers de sel voir Wikipedia :

http://en.wikipedia.org/wiki/Salt_glacier

C’est donc un site littéralement extraordinaire que nous arpenterons l’après-midi, un monde exclusivement minéral et totalement exempt de vie, mais qui déploie une panoplie irréelle de formes et de couleurs. Les tours de sel de parfois plusieurs dizaines de mètres de haut répondent aux stries multicolores des rainures de sel à la surface, avec dans ces sculptures de sel en fractales la palette de couleurs arc-en-ciel du sel-gemme. Partout du sel, blanc, rouge, noir, jaune, modelé en tours verticales ou plaques horizontales, aggloméré en cristaux, stalactites ou choux-fleurs, qui s’écoule lentement et sur des kilomètres carrés du sommet du dôme de sel vers les vallées en contrebas. Ces langues glaciaires présentent d’ailleurs toutes les caractéristiques des glaciers alpins : le « glacier » se découpe parfois en séracs… de sel, des torrents creusés à la surface ou en profondeur rappellent les bédières, des colonnes de sel protégées de la dissolution due aux pluies par un rocher tiennent lieu de tables glaciaires…

 Dans cette curiosité géologique qui défie l’entendement par sa nature-même et son échelle, on est transporté dans un wonderland de sculptures de sel pétries par la gravité et ciselées par l’érosion pluvial, pour ce qui restera un beau bouquet final de ce magnifique voyage au sud de l’Iran.

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pont sur la route entre Shiraz et Bushehr

 

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sur la plage de Bushehr, après les -10°C nocturnes de la semaine précédente dans les Zagros, place aux 25°C d'un golfe Persique à 20°C

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croûte de sel au nord-est de Bushehr

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paysage de badlands entre Bushehr et le glacier de sel    

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la montagne de sel 

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vue panoramique    

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devant les langues "glaciaires" de sel qui descendent du dôme de sel    

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détail d'une des langues du glacier de sel

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détail de la surface du glacier

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sur un dôme glaciaire

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déatil de la surface du dôme glaciaire

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dans la grotte creusée par la bédière dans le glacier

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un petit lac et les concrétions de sel qui l'entourent

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détail de la surface du glacier, qui crisse sous les chaussures comme la glace d'un glacier alpin...

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devant le sommet du dôme de sel et une table glaciaire

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sur la table glaciaire

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fleurs devant un sérac

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deux des langues glaciaires

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dans la chute de séracs terminale de la langue glaciaire médiane

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torrent entre la moraine et une langue glaciaire

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sur une arête glaciaire devant un sérac    

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vue de détail de la surface d'un sérac

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dans le lit du torrent, un petit air de Mer Morte !

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sur le dépôt de sel de la cascade

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quelques inclusions...

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les pénitents de sel

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un petit air de salar sud-américain...

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sur les 6 heures de route retour à Shiraz, avant une soirée mémorable chez Shadi, en prélude à une nuit dans les avions et les aéroports...

25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 20:46

Le 17 février 2014

Alors que la tempête déposera environ 60 cm de poudreuse en montagne, journée de transition au départ de Shiraz sur les routes d’Iran, en direction du massif du Zagros.

On fera escale à Ispahan, l’occasion de visiter 10 ans après sa découverte la splendide place de l’imam et ses mosquées de faïence bleue, toujours beaucoup d’émotion sur cette immense place qui rassemble quelques-uns des plus beaux monuments de l’art islamique, d’autant plus que les touristes se font aussi rares que 10 ans plus tôt !

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la mosquée du Cheikh Loftallah sur la splendide place de l'Imam

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détail du dôme au crépuscule

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détail des mosaïques de céramique de la mosquée de l'Imam

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la grande coupole de la moquée de l'Imam

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les minarets entourant le portail de la moquée de l'Imam

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dans la cour intérieure de l'hôtel

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