13 octobre 2019 7 13 /10 /octobre /2019 21:32

Le 13 octobre 2019

« l’éperon de Nans », 8 longueurs, partiellement équipé (quelques pitons aux relais et dans les difficultés des longueurs, prévoir de nombreuses sangles et un petit jeu de friends), 5c max
Cotations topo : 3c/4c/4c/marche/3c/4c/4c/4c/4c, cotations ressenties 5a/5b/5c/marche/4a/5c(1pas) puis 5b/4c/5b/5a
Journée d’escalade versant nord de la Sainte-Baume, sur les falaises de calcaire dominant la forêt domaniale éponyme. L’éperon de Nans s’élève depuis cette mer de verdure jusqu’aux pelouses sommitales quelques centaines de mètres à l’ouest du Signal des Béguines, et franchit à son premier tiers la grande vire de la corniche Marcel Estruch connue des randonneurs. Malgré les cotations modestes, c’est un itinéraire assez sérieux pour son approche délicate avec une attaque difficile à trouverdans la forêt dense sans repère évident (se munir impérativement d’une photo de la première longueur), un rocher parfois fragile et à l’adhérence précaire sur le bas (rocher mêlé de mousses et de terre, fissures bouchées de végétation…), des pas d’escalade pas si anodins, un caractère terrain d’aventures affirmé et une ampleur finalement certaine (compter au moins 8 heures voiture-voiture). Même si des pitons protègent la plupart des pas délicats et la plupart des relais, et si les topos laissent en général peu de doutes sur le parcours, il vaut mieux avoir déjà été déniaisé en matière de poses de protections et de recherche d’itinéraire. L’escalade, même si globalement peu soutenue, comporte des passages de 5 non triviaux sur rocher non aseptisé, notamment la fissure de L3, le départ et la dalle de L5 ou le dièdre raide de L6. A noter que la seconde partie au-dessus de la corniche Marcel Estruch s’avère plus raide et grimpante et le rocher meilleur que dans la partie basse sous la vire, au point qu’il ferait sens de commencer la voie sur cette corniche médiane.
Ce n’est pas une voie qui ne vaut que par son escalade, mais un parcours qui relève de l’alpinisme en moyenne montagne, une longue journée qui se savoure en baskets et chaussons, perchés sur un éperon de calcaire blanc au-dessus de la mer de verdure - pour parodier une jolie voie de l’Eissadon… au-dessus de la forêt profonde et verte ! 

le parcours de part et d'autre de la corniche Marcel Estruch, vu depuis le parking

le parcours de part et d'autre de la corniche Marcel Estruch, vu depuis le parking

au départ de L2

au départ de L2

sortie de la fissure malcommode de L3

sortie de la fissure malcommode de L3

dans L4 au-dessus de la vire intermédiaire
dans L4 au-dessus de la vire intermédiaire

dans L4 au-dessus de la vire intermédiaire

sur la dalle de L5

sur la dalle de L5

sortie de L6

sortie de L6

sortie de L7

sortie de L7

dans L8, au-dessus de la mer de verdure
dans L8, au-dessus de la mer de verdure
dans L8, au-dessus de la mer de verdure

dans L8, au-dessus de la mer de verdure

vue vers les lignes de crêtes à l'ouest

vue vers les lignes de crêtes à l'ouest

5 octobre 2019 6 05 /10 /octobre /2019 18:49

En octobre 2019

« la Civa », 5 longueurs, équipé, 6a max
Cotations topo : 5c+/5c+/5c/4c/6a, cotations ressenties 6a/5c+/5c+/5a/5c


Retour sur le socle de la Candelle, sa vue panoramique et ses premières longueurs raides et patinées qui échauffent un peu trop vite ! A l’instar de ses voisines du « Temple » ou de « Mahavishnu », la voie de la Civa ne déroge pas à cette règle avec une première longueur verticale, athlétique et un peu patinée qui confine plus au 6a qu’au 5c. Les 2 longueurs suivantes, même si plus en traversée, restent bien soutenues dans le niveau V+, avant que la paroi ne se couche dans L4 pour finir par une jolie dalle facile dans L5. On fera demi-tour en 3 rappels à ce niveau, les 3 longueurs terminales, moins intéressantes, ayant déjà été parcourues 2 fois durant les derniers mois ! Au final de la grimpe en dièdre et fissure un peu à l’ancienne, mais des vues sur la calanque des Pierres Tombées toujours aussi belles.

dans L1

dans L1

dans L2

dans L2

dans L3
dans L3
dans L3

dans L3

dans L4

dans L4

dans L5, face aux calanques de Sugiton et Morgiou
dans L5, face aux calanques de Sugiton et Morgiou

dans L5, face aux calanques de Sugiton et Morgiou

30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 10:18

Le 29 septembre 2019

Voie " à nous la belle vie" sur le pilier sud-est de la Tête Colombe, 12 longueurs, équipé, 6a max

5b/6a/5c/6a/5c/6a/5c/5c/6a/5a/5c/6a

Après la belle escalade sans trop d’ambiance montagne la veille, on se lance dans une grande voie classique d’ampleur des Cerces, « à nous la belle vie », qui déroule ses 12 longueurs sur le calcaire compact et coloré de la Tour Termier. Une marche d’approche d’environ 800 mètres de dénivelée amène au pays des bouquetins et vautours, mais aussi au pied de cet éperon haut perché, compact et imposant vu de l’attaque, mais où la ligne s’élève de dalles en fissures-dièdres sans jamais dépasser le 6a (parfois bien tassé). On profite durant cette longue et escalade d’un cadre panoramique face aux sommets des Agneaux et au cirque glaciaire du Lautaret, d’où émergent au fil de la montée les sommets déjà blanchis de la Grande Ruine, du Pelvoux et des Ecrins, et d’un rocher non moins beau, le calcaire abrasif et coloré des Cerces avec son grain si particulier. Mais tout cela se mérite, et il faut serrer les crougnes et bien se placer sur ces dalles et dans ces fissures dièdres raides, avec un bon équipement typé montagne, c’est  dire serré dans les pas de 6a et espacé voire très espacé en dessous. On fera demi-tour au sommet de L8 vu l’heure déjà avancée et la fatigue nerveuse d’une grimpe exclusivement en tête ; les rappels dans la voie, un peu délicats au début de par la présence de vires et de longueurs peu rectilignes, se faisant plus faciles sur le bas. Au final une belle journée de montagne sur une grande voie aussi agréable pour le grimpeur que pour le montagnard contemplatif !

les landes de myrtilles en feu sur le versant est des Combeynot
les landes de myrtilles en feu sur le versant est des Combeynot
les landes de myrtilles en feu sur le versant est des Combeynot

les landes de myrtilles en feu sur le versant est des Combeynot

les vautours au-dessus des pitons rocheux

les vautours au-dessus des pitons rocheux

le menu du jour

le menu du jour

edelweiss à l'approche

edelweiss à l'approche

grandes montagnes et petits grimpeurs dans L2
grandes montagnes et petits grimpeurs dans L2
grandes montagnes et petits grimpeurs dans L2

grandes montagnes et petits grimpeurs dans L2

dans la fissure raide et soutenue de L4

dans la fissure raide et soutenue de L4

au départ de la fissure de L5
au départ de la fissure de L5

au départ de la fissure de L5

sur la dalle de L6
sur la dalle de L6

sur la dalle de L6

dans L8
dans L8
dans L8

dans L8

vues sur la Meije et le Pic de la Ponsonnière
vues sur la Meije et le Pic de la Ponsonnière

vues sur la Meije et le Pic de la Ponsonnière

dans les rappels de descente

dans les rappels de descente

30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 10:15

Le 28 septembre 2019

Voie "transdalles express", 5 longueurs, équipé, 6a max

6a/5a/5b/6a/5b

Voie "la porte du ciel", 5 longueurs, équipé, 6a+ max

6a/5c/6a+/5b/5b

Virée escalade dans le vallon du Fournel sur la route des Cerces. La falaise du Fournel située à l’entrée du vallon éponyme, pas très loin de la Durance et dans une ambiance peu alpine, offre un très beau calcaire compact gris et ocre, dalleux sur le bas puis plus découpé sur le haut. Les 2 voies parcourues ce jour remontent ce boucliers de dalles dans leur première longueur, puis louvoient entre les toits à travers fissures et surtout dièdres. On y trouve de l’escalade peu athlétique et homogène dans le 5c/6a mis à part 1 pas plus difficile au départ de L4 de « transdalles express » et la troisième longueur courte mais soutenue de « la porte du ciel », et de belles longueurs comme justement cette dernière ou les secondes et troisième de « transdalles express », superbe dans le niveau. De la dalle bien équipée au soleil, de quoi reprendre en douceur l’escalade en montagne après seulement une poignée de sorties cet été !

du parking, vue sur la falaise du jour

du parking, vue sur la falaise du jour

dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"
dans "transdalles express"

dans "transdalles express"

dans "la porte du ciel"
dans "la porte du ciel"
dans "la porte du ciel"
dans "la porte du ciel"

dans "la porte du ciel"

21 septembre 2019 6 21 /09 /septembre /2019 16:09

Le 21 septembre 2019

Voie « l’édon de la mer », sortie par la dernière longueur de « white pearl »
4 longueurs, équipé, 6b+max
5c+/6b+/6b (1 pas)/6b
Sortie rapide dans le cirque du 14 juillet au Cap Canaille, sous une météo qui se dégradera plus vite qu’annoncé avec des averses de pluie faible dès 11h du matin. La voie restera protégée par ses surplombs et le rocher sec, de quoi donc grimper en observant les rideaux de pluie et en entendant le tonnerre gronder sur la baie de Cassis quelques centaines de mètres au large. A l’instar de sa voisine « white pearl », la voie offre 4 longueurs d’escalade variée et soutenue en L2 : dévers prisu en L1, dalle et fissure en L2, pas bloc improbable en Dülfer en L3, dalle puis cheminée spéléo en L4, le tout dans un calcaire très sculpté aux formes parfois fantasmagoriques. Bref, une très belle voie au final même si un peu courte, un vrai concentré de calcaire canaillesque (sans les étages de grès et de poudingue), avec toutefois un équipement un peu plus obligatoire qu’ailleurs dans L2, où il vaut mieux être à l’aise dans le 6b.

fin de L1

fin de L1

départ de L2

départ de L2

départ de L3

départ de L3

j'aime le rocher de Canaille

j'aime le rocher de Canaille

départ de L4
départ de L4

départ de L4

ambiance écossaise dans les landes de kermès

ambiance écossaise dans les landes de kermès

7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 09:09

Le 6 septembre 2019

Voie de la colonne, 4 longueurs, équipé, 6a max
6a/5c(2 pas)/4c/5c


Soirée d’escalade dans le vallon des aiguilles, sur la dernière arête encore non parcourue de sa rive gauche, celle où se trouve le monolithe remarquable de la colonne. C’est une courte grande voie un peu décousue et hétérogène, mais qui offre une petite ambiance montagne sur le bitard de calcaire puis l’arête qui le domine, ainsi qu’une jolie escalade sur la dalle soutenue de la première longueur. L’ombre de ce versant est et le mistral sensible nous frigorifient, et on tentera de se réchauffer dans les couennes plus athlétiques du secteur Immadras pour profiter des dernières lueurs du jour, mention spéciale pour la très belle voie "Alacaligne" en fissure-dièdre d’aragonite !

sous la voie

sous la voie

dans L1
dans L1

dans L1

L2
L2

L2

L3

L3

L4 sur le fil devant le bitard
L4 sur le fil devant le bitard
L4 sur le fil devant le bitard

L4 sur le fil devant le bitard

"Alcaligne" au secteur Immadras

"Alcaligne" au secteur Immadras

crépuscule sur la rade
crépuscule sur la rade

crépuscule sur la rade

4 septembre 2019 3 04 /09 /septembre /2019 21:33

Le 4 septembre 2019
L’arête du duo, 2 longueurs, équipé, 6a max
5c/6a
L’arête du Trio Laid, 2 longueurs, équipé, 5c max
5c/5b


Un très beau secteur qui m'était encore inconnu malgré 12 ans de calanquisme aigu, sans doute (in?)consciemment rebuté par la faible hauteur des voies et le grand nombre de couennes. Et bien on y profite en fait de l'un des plus beaux cadres des calanques, du rocher blanc modelé en arêtes, dans un cirque presque fermé, face aux îles derrière la côte échancrée et aux forêts d'aiguilles vers l'ouest, le tout sublimé par le soleil couchant (le secteur est exposé au sud-ouest). Cerise sur le gâteau, une belle et longue (à l'échelle des calanques) marche d'approche qui panoramise sur la rade de Marseille au nord et les calanques au sud.
Malgré l'âge vénérable de ces voies, le rocher reste neuf et adhérent, généralement bon sur l'arête du duo (même si un peu chipseux sur la fin), et portant les stigmates de grosses purges sur l'arête du trio laid, mais finalement pas si pire. L’équipement est bon sur scellements, les pas délicats du duo sont très bien protégés. Par contre, à noter un mono (point de sortie) dans le duo, mais pas dans le trio !
Côté chaussons, c'est joli sans être majeur pour les 2 voies parcourues (arête du duo et arête du trio laid), avec par contre 1 pas de 6a bien délicat (mais bien protégé) dans la fin du duo, peut-être que je paie seulement un été passé à profiter plus du bleu que du blanc, plus souvent en palmes qu'en chaussons.
Quoi qu'il en soit, un très beau secteur qui me semble parfaitement indiqué pour initier des grimpeurs de 5 à la grande voie...

vue du plateau de l'Homme Mort vers les calanques

vue du plateau de l'Homme Mort vers les calanques

dans L1 de l'arête du duo
dans L1 de l'arête du duo
dans L1 de l'arête du duo

dans L1 de l'arête du duo

L2 de l'arête du duo et vue sur Riou
L2 de l'arête du duo et vue sur Riou

L2 de l'arête du duo et vue sur Riou

L1 de l'arête du trio laid

L1 de l'arête du trio laid

L2 de l'arête du trio laid
L2 de l'arête du trio laid
L2 de l'arête du trio laid

L2 de l'arête du trio laid

crépuscule
crépuscule

crépuscule

1 septembre 2019 7 01 /09 /septembre /2019 19:33

Le 29 août 2019

L’arête blanche, 3 longueurs, équipé, 4c max
4c/4c/4c officiellement, en cotations modernes plutôt du 5b


Soirée d’escalade dans le vallon des aiguilles, sur l’arête blanche, qui porte bien son nom au-dessus de la très belle dalle de calcaire blanc sculpté récemment découverte avec la voie « Exocet ». C’est un itinéraire facile, court et esthétique sur une crête de rocher blanc dominant le vallon des aiguilles et la rade de Marseille, et partiellement protégé de spits. Quelques sangles et friends (de taille petite à moyenne) peuvent permettre de réduire l’exposition de certains passages, faciles mais en rocher parfois fragile, particulièrement dans L1. On ne trouvera pas de spits sur le monolithe rocheux de la voie… du bitard, et descendra donc par les 2 rappels classiques du secteur, mais se consolera en dégustant les nombreuses mûres de l’approche, goûteuses (et piquantes) à souhait !

mûres dans l'approche, les myrtilles des calanques !

mûres dans l'approche, les myrtilles des calanques !

sur l'arête blanche, L2 et L3
sur l'arête blanche, L2 et L3
sur l'arête blanche, L2 et L3
sur l'arête blanche, L2 et L3

sur l'arête blanche, L2 et L3

le bitard et la rade au crépuscule
le bitard et la rade au crépuscule

le bitard et la rade au crépuscule

22 août 2019 4 22 /08 /août /2019 16:01

Le 21 août 2019

5 longueurs, équipé, 6a+ max
Cotations topo 6a+/6a/6a+/6a/6a
Cotations ressenties 6a++/6a/6a+/5c+/L5 non parcourue faute de temps
Retour en escalade d'after work dans les calanques et le vallon des Aiguilles. 1 an après l’arête du Rat, celle de Béouveyre nous offrira ses monolithes de calcaire plantés dans la pinède, et au final une jolie escalade soutenue dans le 6a/6a+. Les (aiguillettes de l’)Evêque puis la Nonne se gravissent en dalle avant de se descendre en rappels, alors que la troisième longueur se compose d’une raide fissure à l’escalade souvent athlétique puis d’une traversée fine en rocher encore un peu fragile. Arrivés au sommet de L4 après une jolie dalle moins fine que dans les 2 premières longueurs, on profitera d’un crépuscule flamboyant sur le Frioul sur fond de côte bleue, mais devra donc renoncer à la dernière longueur. Au final une jolie voie à l’escalade et au rocher bien plus plaisants qu’escompté, et dans une mini-ambiance montagne sur une arête au-dessus des lumières de la ville !

une autre amatrice de bondage, aux cordes de soie

une autre amatrice de bondage, aux cordes de soie

sur l'Evêque

sur l'Evêque

sur la Nonne
sur la Nonne

sur la Nonne

dans la fissure de L3

dans la fissure de L3

couleurs dans L4
couleurs dans L4
couleurs dans L4

couleurs dans L4

couleurs sur la ville
couleurs sur la ville
couleurs sur la ville

couleurs sur la ville

la récolte de figues sauvages du jour

la récolte de figues sauvages du jour

12 août 2019 1 12 /08 /août /2019 13:04

Le 11 août 2019

Voie "tueur de boucs", 10 longueurs, équipé, 6b max

5c/6a/5c/5c/5c/6a/6b/6a/5b/4b

Après le calcaire gris des tenailles, retour dans une grande voie sur le granite noir d’Ailefroide, dans le secteur ombragé de Clapouse. On ne débouche pas sur un sommet, les approches restent trop courtes à mon goût, la proximité du camping génère d’ailleurs une certaine affluence, bref l’ambiance montagne et la solitude ne sont pas garanties, mais on profite tout de même de jolies vues et surtout d’une belle escalade bien équipée plus en placements et adhérence qu’en forçages d’avant-bras sur prises abrasives, de quoi passer du 6b sans violenter les fibres musculaires et la pulpe des doigts et des orteils.
La voie « tueur de boucs » ne déroge pas à cette règle avec une escalade presqu’exclusivement en dalles, à l’exception de L6 et surtout L7 en magnifique fissure fine à placements. Il est préférable par contre d’avoir un peu de marge dans le niveau 5c dalle (ou de la confiance dans la gomme de ses chaussons) vu l’équipement un peu aéré des dalles du bas, tous les pas dépassant le 6a étant par contre bien protégés comme souvent à Ailefroide !

dans L1

dans L1

le Petit Pelvoux dans les cumulus

le Petit Pelvoux dans les cumulus

dans L4 et ses dalles de gneiss (comme presque partout ailleurs dans la voie...)
dans L4 et ses dalles de gneiss (comme presque partout ailleurs dans la voie...)
dans L4 et ses dalles de gneiss (comme presque partout ailleurs dans la voie...)

dans L4 et ses dalles de gneiss (comme presque partout ailleurs dans la voie...)

sortie de L5

sortie de L5

dans la très belle fissure en 6b de L7

dans la très belle fissure en 6b de L7

vues vers le vallon du Sélé et un autre grimpeur soloiste lourdement chargé
vues vers le vallon du Sélé et un autre grimpeur soloiste lourdement chargé

vues vers le vallon du Sélé et un autre grimpeur soloiste lourdement chargé

sortie de L9 devant la pointe du Sélé
sortie de L9 devant la pointe du Sélé

sortie de L9 devant la pointe du Sélé

myrtilles sur le chemin de descente

myrtilles sur le chemin de descente

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