30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 22:44
En mai 2009 avec Elsa

Sommet : 3100 m
Dénivelée : 1600 m
Difficulté : 4.1

Nuit au refuge de Chabournéou, atteint la veille après la brèche de Philippe



sous les séracs du glacier du Sirac


vue du sérac skié

30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 22:42
Avec Elsa en mai 2009

Sommet : 2900 m
Dénivelée : 1300 m
Difficulté : 4.2



sous la brèche à 2700 m


dans le couloir de la brèche face aux pics du Vaccivier et du Says


dans l'entonnoir du couloir


dans le couloir face aux Rouies à 2800 m


dans le couloir face au versant ouest des Bans


sur le replat du glacier de la Condamine, la brèche à l'arrire-plan au centre
30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 22:36
En septembre 2009, avec François-Xavier et Frédéric

WE kayak de mer, bivouac sur la plage de Monasterio (seule plage de sable des calanques) atteinte en kayak de mer depuis le cap Croisette, traversées en escalade au-dessus de la mer

Nuit agitée avec le harcèlement des nombreux et gros rats habitant l'île du Riou



30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 22:34
En octobre 2009 avec Vanessa et François-Xavier

Non équipé, 10 longueurs, 4c max


l'arête du Jardin suivi de l'arête sud-ouest de la croix de Provence



dernier relais sous la croix de Provence

30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 22:27
En août 2009 avec François-Xavier

 Equipé, 6 longueurs, 6a max


sur l'arête au-dessus de la calanque des Pierres Tombées
30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 17:32

Les 12 et 13 juillet 2009 avec Etienne

Enchaînement du pic Gény par l’arête est le 12 juillet, puis descente vers le refuge du Soreiller pour y passer la nuit, le lendemain montée à l’aguille Dibona par la combinaison de voies Berthet-Boell-Stofer en face sud, descente par la voie normale


Pic Gény par l'arête est au départ de La Bérarde
Sommet : 3450 m
Dénivelée :1800 m
Difficulté : PD+ avec du III sur l’arête, terrain d’aventures presqu’intégral


Aiguille Dibona par combinaison de voies Berthet-Boell-Stofer (et variante par les cannelures Stofer)
Sommet : 3150 m
Dénivelée : 450 m depuis le refuge du Soreiller
Difficulté : escalade longue mais homogène dans le V, d’équipement hétéroclite (du tout spité au terrain d’aventures presqu’intégral), le 5b des cannelures Stofer m’ayant semblé sous-coté…

Beau et long week-end d’alpinisme en boucle au départ de La Bérarde, en enchaînant l’arête est du pic Gény le premier jour et la face sud de la Dibona le lendemain, avec donc nuit au refuge gardé du Soreiller. La préférence donnée au bivouac en montagne doit parfois s’accommoder d’un certain pragmatisme, pas sûr que le sac ait encore pu supporter tapis de sol et duvet sans trop peser sur les épaules dans la longue ascension du pic Gény… Son arête est offre une belle course, longue approche dans le vallon du Châtelleret puis une arête rocheuse à partir de 3000 mètres. C’est peu technique avec au maximum du III (chaussons d’escalade inutiles) mais dans une vraie ambiance haute montagne, sur un trait de caillou entre les glaciers du Plaret et d’Aréna, face aux tours rocheuses de la Grande Ruine. On évolue parfois sur une arête parfois aérienne, souvent sur un excellent rocher, à faire presque pâlir de jalousie le granite noir d’Ailefroide ! La descente versant Soreiller a par contre beaucoup moins de classe dans du rocher brisé, alors que l’arrivée au refuge clôt définitivement dans la foule des grimpeurs cette parenthèse de montagne sauvage et déserte.
Le lendemain on échappera vite à la file des grimpeurs de spits en virant à droite après le tunnel du départ commun à la voie Madier, pour la combinaison Berthet – Boell – Stofer, une voie à l’ancienne, louvoyant dans la grande face sud de la Dibona à la recherche de la ligne la moins difficile. On y trouve tout de même des beaux passages de grimpe sur le non moins beau granite de la Dibona, par exemple dans la traversée Berthet ou les cannelures Stofer qui laisseront des souvenirs à un grimpeur de tête dans le V ! L’arrivée sur la lame de granite sommitale de la Dibona, suspendue 400 mètres au-dessus du refuge et face aux sommets glaciaires des Etages ou des Fétoules, clôture avec panache ces 400 mètres de grimpe et ramène… aux files d’attente des grimpeurs dans les rappels de descente.

lenticulaires sur l'Ailefroide

lenticulaires sur l'Ailefroide

nuages lenticulaires sur la Grande Ruine

nuages lenticulaires sur la Grande Ruine

sur l'arête est du Pic Gény à 3000 m
sur l'arête est du Pic Gény à 3000 m

sur l'arête est du Pic Gény à 3000 m

au sommet de l'aiguille Dibona, le Plaret en arrière-plan

au sommet de l'aiguille Dibona, le Plaret en arrière-plan

dans les rappels de descente de l'aiguille Dibona
dans les rappels de descente de l'aiguille Dibona

dans les rappels de descente de l'aiguille Dibona

le profil unique de l'aiguille Dibona vu de sous le refuge Soreiller

le profil unique de l'aiguille Dibona vu de sous le refuge Soreiller

30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 17:27
En août 2009 avec Etienne

Sommet : 3000 m
Dénivelée : 1400 m
Difficulté : AD-, passages de 4 sup à protéger

Nuit au refuge des Bans à 2000 m



sous la face nord du pic de Bonvoisin


premiers pas sur l'arête des dents de Coste-Counier



près du sommet


au sommet sous la face sud-est des Bans et le glacier éponyme



30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 17:14

Le 1er août 2009 avec Etienne
Arête sud-ouest au départ de Valpréveyre, dite aussi « voie académique », descente par la voie normale
Sommet : 3000 m
Dénivelée : 1150 m
Difficulté : AD-, quelques pas de IV- généralement protégés, quelques sangles suffisent pour se protéger


Ascension du Bric Bouchet à l’est du Queyras par son arête sud-ouest, peu marquée sauf sur sa dernière partie. C’est une jolie voie d’alpinisme facile, aux ressauts courts, peu soutenus et souvent protégée à demeure pour ses pas les plus grimpants, indiquée donc pour de l'initiation, et qui gratifie sur sa fin d’une portion d’arête marquée et aérienne très esthétique. Le climat particulier de ces hauts-sommets de la frontière queyrassine ajoute au charme des lieux avec la "nebbia"  (brouillard en italien) qui monte peu à peu tous les après-midis d’été depuis la plaine du Pô pour envahir dans sa ouate les montagnes environnantes et ne laisser surnager que la tour solitaire et dominatrice du Viso.

au-dessus du refuge Nino Sardi, la "nebbia" côté italien...

au-dessus du refuge Nino Sardi, la "nebbia" côté italien...

... qui peu à peu remonte de la plaine du Pô pour noyer les sommets

... qui peu à peu remonte de la plaine du Pô pour noyer les sommets

dernière longueur de l'arête, la plus esthétique

dernière longueur de l'arête, la plus esthétique

au bord du lac Chalantiès, et son ambiance pozzines quelques centaines de kilomètres au nord de la Corse
au bord du lac Chalantiès, et son ambiance pozzines quelques centaines de kilomètres au nord de la Corse
au bord du lac Chalantiès, et son ambiance pozzines quelques centaines de kilomètres au nord de la Corse

au bord du lac Chalantiès, et son ambiance pozzines quelques centaines de kilomètres au nord de la Corse

30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 17:10

En février 2009 avec Nawel

Découverte de l'Atlas Marocain à l'occasion d'un WE passé à Marrakech.

 

2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-024--Large-.jpg

 

Ascension en skis du Djebel Toubkal à 4160 m, par la voie normale au départ d'Imlil, avec nuit en refuge à 3200 m et descente directe par la combe nord.

 

Marrakech, situé aux portes de l'Atlas à une heure et demi de route d'Imlil, permet lors d'un même séjour d'allier visite de la médina ou du souk avec du ski de randonnée sur les pentes du Djebel Toubkal...

En cet hiver 2009 abondamment arrosé et donc enneigé au Maroc, l'enneigement skiable commençait fin février à environ 2500 m en versant nord, permettant donc des descentes de près de 1700 m de dénivelée d'une seule traite depuis le sommet du Toubkal, du Maroc et de l'Afrique du Nord à 4150 m, et ce à quelques centaines de kilomètres des dunes du Sahara !

Par contre une montagne aussi emblématique attire beaucoup, et c'est parmi des dizaines de randonneurs du monde entier, à skis ou à pieds, que se fait son ascension depuis les refuges du Toubkal situés à une altitude 3200 m. L'enneigement se fera très faible à partir de 3900 m sur les crêtes dégarnies par le vent, et c'est avec des semelles endolories que sera atteint le support métallique marquant le sommet.

La descente par la combe nord s'avérera à l'image de la montée, avec une partie supérieure pelée par le vent où les semelles de ski crisseront souvent, puis une combe inférieure en excellente neige poudreuse jusqu'au déchaussage à 2500 m !

Du bon ski donc sur des montagnes, belles en hiver, qui doivent par contre s'apparenter à de gros "tas de cailloux" en été, en l'absence de neige et de végétation...

 


Sommet : 4150 m
Dénivelée : 2300 m
Difficulté : 3.2

2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-021--Large-.jpg
un village berbère à 2000 m


2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-024--Large-.jpg
la face nord du Toubkal vu des premières pentes skiables à 2500 m




le refuge à 3200 m, des épaisseurs de neige conséquentes en Afrique...



à la montée face aux clochetons de l'Ouanoukrim



2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-030--Large-.jpg
au sommet, vue vers l'est



début de la descente skiable à 3900 m, de la bonne neige poudreuse directement posée sur les rochers


2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-043--Large-.jpg
petite godille marocaine à 3200 m


2009-02-22-26-Marrakech-Djebel-Toubkal-061--Large-.jpg
les cîmes du Haut-Atlas vues depuis Marrakech

29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 17:08

En septembre 2006 avec Nicolas

Tentative d'ascension de l'Iliniza Sur (5250 m), abandonnée en raison des 10 cm de neige tombés durant la nuit et posés à même des dalles de rochers polies par les glaciers (en très fort recul sur le massif) difficiles à protéger.

 

Nous nous sommes reportés sur le sommet voisin de l'Iliniza Norte (5100 m) avec des vues fabuleuses au soleil levant sur le cône volcanique parfait du Cotopaxi émergeant au-dessus de la mer de nuages.

Sommet : 5100 m
Dénivelée : 1300 m en 2 jours, refuge à 4600 m
Difficulté : F, randonnée alpine sur la fin demandant quelques pas d'escalade facile

 

lumières de l'aube sur la neige fraîche, ambiance écossaise sur l'arête à 4800 m



sur l'arête sommitale à 5000 m et ses rochers carapaçonnés de glace, face au cône volcanique parfait du Cotopaxi, l'un des plus hauts volcans actifs du monde



 
l'Antisana à gauche à 5800 m, le Cotopaxi à droite à 5900 m






Photo-252--Large-.jpg
le Cotopaxi émergant de la mer de nuages

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